La légende glorifie le mouvement, le brassage des cultures ; les chiffres mettent en évidence une ville vidée de ses forces productives, sédentaire et sous perfusion étatique. Ceux qui partent sont les groupes sociaux produits par la société industrielle. Restent les pauvres qui, depuis la fin des années 1980, singularisent sociologiquement Marseille.